Louis, comment vous êtes-vous lancé dans une mission de volontariat avec Schneider Electric ?
J'ai 32 ans, j’habite à Londres et je suis ingénieur en automates chez Schneider Electric depuis juste un an. Intéressé par les actions solidaires menées par le Groupe dans le monde entier, j'avais envie de m'investir sur des projets humanitaires, en phase avec mes valeurs personnelles et mes compétences. Je me suis connecté à VolunteerIn, le site proposant les missions de volontariat de l’entreprise, pour identifier une mission adaptée à mon profil et correspondant à mes compétences techniques. J'ai rapidement identifié un projet de formation à l'Université de Douala au Cameroun, ma terre natale, me permettant de partager mon savoir-faire avec les étudiants locaux.
Pendant une semaine, je suis parti former aux automatismes ces jeunes étudiants pour leur démontrer les formidables potentialités de cette technologie appliquée à l'industrie. J'ai travaillé avec le responsable des études de l'université pour cibler ses attentes et bâtir main dans la main un programme de formation ad hoc intégré au parcours diplômant des étudiants.
Quel bilan dressez-vous de cette expérience ?
C’est véritablement un modèle gagnant-gagnant. Avant de rejoindre Schneider Electric, j'avais pour ambition de devenir formateur volontaire, cette mission correspondait donc totalement à ma personnalité et à mes envies. En formant les étudiants, j'ai également pu développer mes compétences sur des produits que je n'avais pas l'habitude d'utiliser et transmettre ensuite ces nouvelles connaissances au sein de mon entreprise.
Avez-vous envie de recommencer ?
Oui, absolument, et une fois par an ! Le volontariat est extrêmement enrichissant et instructif : soit je le reproduirais dans un contexte humanitaire différent soit dans un nouveau projet de formation sur les automates et cette fois, sur un autre continent.
